Auteurs :

Gert-Jan Stads, M’hamed Ait-Oubelli et Raed Badwan

Année :

2014

Publié par :

Institut international de recherches sur les politiques alimentaires et Institut national de la recherche agronomique d’Algérie

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Publications

Même si les dépenses de l’Algérie en matière de R&D agronomique ont considérablement augmenté entre 2009 et 2012 (en relation avec l’augmentation rétroactive des salaires), les niveaux d’investissement restent encore en deçà des standards internationaux et sont faibles par rapport aux pays voisins.

L’État algérien reste la principale source de financement de la R&D agronomique. Les ressources générées par les donateurs, les prêts bancaires ou par la vente des biens et des services, sont forts limitées.

Le nombre de chercheurs agronomes a enregistré une croissance régulière en Algérie durant la période 2009–2012. Il en est de même du niveau moyen de qualification de ces chercheurs. En outre, plus de la moitié des chercheurs employés par l’INRAA, l’institution principale de recherche agronomique en Algérie, sont des femmes.