Auteurs :

Gert-Jan Stads, Moundibaye Allarangaye et Léa Vicky Magne Domgho

Année :

2014

Publié par :

Institut international de recherches sur les politiques et Institut tchadien de recherche agronomique pour le développement (ITRAD)

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Publications

L’engagement du gouvernement tchadien à financer la R&D est si ferme que le ratio d’intensité de la recherche du pays avoisine l’objectif fixé à 1 % recommandé par le NEPAD et les Nations Unies. Ce qui distingue le Tchad de la plupart des pays ouest-africains est le rôle négligeable des bailleurs de fonds dans le financement de la R&D agricole.

Ces dernières années, l’ITRAD – le principal organisme de recherche agricole du Tchad — a vu augmenter l’effectif de ses chercheurs, même si cette croissance concerne principalement les catégories des licenciés et des titulaires d’un master.

L’Université de N’Djamena emploie la majeure partie des docteurs ès sciences agricoles du Tchad : ils ne font que peu de recherche, l’enseignement accaparant la majeure partie de leur temps de travail.